Grand Débat: les élus de la Côte d'Opale ont rapporté leurs revendications à l'Elysée

Grand Débat: les élus de la Côte d'Opale ont rapporté leurs revendications à l'Elysée
A la table présidentielle, Xavier Bertrand, président de la Région, et Hubert Degrève, maire de Tubersent, et président des maires ruraux.
Elise Leclercq 07:46 - 30 mars 2019

Ce vendredi, les élus de la région des Hauts-de-France étaient invités à l'Elysée dans le cadre du Grand Débat national. Tous ont voulu y apporter les contributions de leurs territoires.

Le sénateur Merlimontois, Jean-François Rapin, a pu remettre en main propre au Président de la République, la contribution de l'Association National des Elus du Littoral (ANEL). La question de l'érosion côtière a notamment été évoquée.

Le député du Montreuillois, Daniel Fasquelle, a lui aussi apporté à Emmanuel Macron, les 15 propositions tirées de ses trois réunions publiques organisées sur la 4ème circonscription du Pas-de-Calais. L'ancien maire du Touquet y évoque la mobilité, l'handicap, l'école, la formation, etc.

Le maire de Boulogne, Frédéric Cuvillier, a pris la parole pour demander une meilleure répartition de la solidarité nationale. Le président de la Communauté d'Agglomération du Boulonnais a également attiré l'attention du Président sur le Brexit et sur les conséquences sur la pêche. Pour Frédéric Cuvillier il est urgent de mettre en place des mesures d'accompagnement et d'anticiper des contrats territoriaux.

Egalement présente, la maire de Calais, Natacha Bouchart en a profité pour réitérer sa demande de création d’un fonds pour la prise en charge des investissements réalisés par le port de Calais, le tunnel sous la Manche et les entreprise du Calaisis en vue du Brexit. La président du Grand Calais a également attiré l’attention d'Emmanuel Macron, sur les questions de la gratuité des transports , du maintien des lignes à grande vitesse et de l’exonération fiscale de la société délégataire du port de Calais.

Le député du Calaisis, Pierre-Henri Dumont, avait quant à lui décliné l'invitation précisant qu'il ne voulait "servir de faire-valoir institutionnel à un soit disant dialogue avec le Président qui n’est en réalité qu’un long monologue destiné à justifier sa politique".

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