L'ULCO passe des conventions avec la justice pour prévenir les cas d'harcèlements sexuels et moraux !

L'ULCO passe des conventions avec la justice pour prévenir les cas d'harcèlements sexuels et moraux !
La procureure de la République à Dunkerque, Charlotte Huet aux côtés de Hassane Sadok, président de l'ULCO et l'Association AIAVM - crédit : Radio6
Sébastien Foissel 07:44 - 05 février 2024

Une vingtaine d'étudiants chaque année se plaignent de subir du harcèlement sexuel ou moral au sein de l'Université, sur les sites de Dunkerque, Calais, Boulogne et Saint-Omer. L'an dernier, 3 cas plus graves ont été traités comme des délits pénaux. L'université peut exclure les harceleurs. La Justice facilitera les procédures et les suivis de victimes.

Catherine Minet-Letalle est vice-présidente à l'ULCO et déléguée à l'égalité, la lutte contre les discriminations et violences sexuelles et sexistes. Elle observe toujours le même mécanisme d'exclusion :

Une convention a été signée entre l'ULCO et les tribunaux de Saint-Omer, Boulogne et Dunkerque. La procureure de la République de Dunkerque, Charlotte Huet :

Aujourd'hui, la justice est dotée de moyens techniques pour retrouver des messages sur les réseaux sociaux. La procureure de la République de Dunkerque, Charlotte Huet :

Avant toute démarche en justice, l'ULCO dispose aussi de moyens de « répressions ». Catherine Minet-Letalle est vice-présidente à l'ULCO :

Les victimes sont également prises en charges et peuvent être suivies par L'Association intercommunale d'aide aux victimes et de médiation (AIAVM).

La justice peut prononcer des peines d'emprisonnement de 3 à 5 ans minimum à l'encontre de harceleurs.

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